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PDL, c'est la crise : Bondi remet sa démission, Berlusconi la refuse

L'ancien ministre Sandro Bondi, actuellement coordinateur du PDL, a démissionné pour la troisième fois l'année dernière, mais Berlusconi et Alfano ne les ont pas acceptés. L'ancien premier ministre : "Je ne sais pas si je serai encore sur le terrain".

PDL, c'est la crise : Bondi remet sa démission, Berlusconi la refuse

Le PDL semble proche de l'effondrement. La goutte qui a fait déborder le vase est le La démission de Bondiprésenté par le coordinateur du parti. Qui a expliqué ce choix avec l'intention d'échapper "aux attaques personnelles et au dénigrement qui font partie de la pire politique".

Démission cependant ils n'ont pas été acceptés"Alfano et moi rejetons la démission de Bondi", a répondu l'ancien Premier ministre, refusant de faire d'autres déclarations sur la crise du parti.

Bondi n'est pas novice en matière de démission : en 2011, ce sont les effondrements de Pompéi pour pousser le ministre du Patrimoine culturel de l'époque à les remettre. Maintenant, la crise politique qui a éclaté avec le vote à administratif a de nouveau jugé l'ancien ministre, qui déjà après les résultats de Pisapia à Milan, il avait communiqué son intention de démissionner.

Berlusconi lui-même, cependant, a mis une très lourde hypothèque sur l'avenir du parti, le définissant "fini», et annonçant prochainement une nouvelle initiative politique. A cet égard, le sénateur du PDL Altero Matteoli est intervenu : « Changer le nom du parti ne me semble pas la solution, il faut inventer une autre stratégie ».

L'ancien Premier ministre s'est également interrogé sur sa permanence en politique : "Je ne sais pas si je serai encore sur le terrain".


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