- Remises d'impôts. Le gouvernement est délégué pour adopter un décret législatif « dans un délai d'un an à compter de l'entrée en vigueur de la loi » « dans le respect » de certains « critères et paramètres ». Parmi celles-ci, "le paiement d'un impôt de substitution à l'impôt sur le revenu des personnes physiques", l'exonération "du paiement de l'impôt régional sur les activités productives pour les propriétaires d'activités commerciales", la "non-imposition de la taxe sur la valeur ajoutée à titre de compensation », l'attribution d'un « crédit d'impôt en cas d'achat de matériel informatique, l'exonération des obligations d'enregistrement et de tenue de la comptabilité par études sectorielles » et, enfin, la possibilité de « déduire les dépenses d'éducation, de formation et de cours de spécialisation professionnelle et technique ». Des mesures ad hoc sont également envisagées pour "inciter les établissements de crédit et bancaires qui accordent des prêts à taux zéro, à décaisser dans la phase de démarrage et remboursables sur une période maximale de cinq ans".
- Grands-parents-sitter. Les travailleuses indépendantes peuvent demander, dans les trois ans de la vie de l'enfant, "une allocation de six mois" si elles font appel à leur conjoint ou "un parent jusqu'au troisième degré", ou assimilé jusqu'au deuxième degré, pour un horaire quotidien d'au moins 6 heures.
- Les business angels. Le texte finalisé par les commissions prévoit des voies préférentielles pour les procédures bureaucratiques. En particulier, un décret définira les critères d'encadrement de la figure du « business angel », c'est-à-dire « l'entité publique ou privée qui investit dans le démarrage et l'accompagnement de projets d'amorçage de nouvelles micro-entreprises de jeunes femmes, apportant de 25 250 à XNUMX XNUMX euros en capital-risque dans les entreprises et en mettant à disposition son expérience et ses réseaux de connaissances et de services ».