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Mentir sur le CV : une pratique dangereuse. Risques et cas concrets

Créer son propre Curriculum Vitae n'est pas toujours une opération très simple. Le doute - en général - est de savoir s'il faut utiliser un modèle standard ou s'il faut choisir la voie de l'originalité. La règle la plus importante est de ne jamais tricher, même s'il existe des cas, même célèbres, de CV au contenu mensonger.

Mentir sur le CV : une pratique dangereuse. Risques et cas concrets

Bien que cela puisse sembler absurde, mentir sur CV c'est une pratique que, malheureusement, beaucoup de personnes mettent en place ou ont déjà mise en place. Les contextes sont nombreux, mais le fil conducteur est toujours et un seul : essayer d'occuper un poste falsifier les possibilités réelles pour obtenir ce travail.

Les cas de mensonges et de mensonges dans le CV heureusement ils ne sont pas si fréquents, grâce aussi à l'avènement des réseaux sociaux (comme LinkedIn) qui permettent d'avoir une image précise de la situation d'un candidat. De cette façon, les entreprises ont toujours la bénéfice du doute et peut se réserver le droit de demander plus d'informations sur l'expérience et la formation antérieures.

Mensonges dans le CV : il y a aussi des cas illustres

Partons d'un postulat : mentir sur son CV peut avoir deux sens possibles. Le premier concerne l'insertion de vrais fausses données et qui n'ont pas de correspondance dans la réalité ; la seconde concerne plutôt une exagération des compétences réelles de l'individu, qui en sait en vérité moins que ce qu'il a déclaré.

Clameur était le cas de Ramesh Tainwala, PDG de Samsonite et membre de cette société depuis 1995, qui a inclus dans son CV un brillant doctorat en administration des affaires, en réalité jamais obtenu et donc complètement bidon.

Comme on le voit facilement, les cas peuvent aussi renvoyer à des cas illustres, pour des personnes qui n'auraient même pas de raisons concrètes de mentir sur leur CV. Dans tous les cas, cependant, il est courant, même chez les candidats ordinaires, d'exagérer afin de tromper l'employeur.

Les risques

Les risques de mensonge dans le CV sont de nature potentiellement criminel, comme un mensonge dans le CV indique infraction. C'est parce que c'est un fraude à tous les effets. Mais quel est le risque ?

En premier lieu, il y a évidemment le risque de licenciement direct par l'entreprise. Deuxièmement, puisqu'il s'agit d'une arnaque, le candidat menteur pourrait risquer jusqu'à 3 ans de prison et des amendes de 2000 XNUMX euros. Dans le cas d'œuvres obtenues sur concours publicl'emprisonnement peut aller jusqu'à 2 ans maximum. Dans le cas d'un privé à la place, l'entreprise pourrait également opter pour un indemnisation complète des salaires indûment perçus, et peut également exiger la perception d'une amende pour les dommages subis.

Il y a un aspect important à préciser. Comme il ne s'agit pas d'un crime bien défini avec des limites précises, c'est toujours à la loi d'étudier le cas spécifiques et donner des commentaires concluants. Ces risques criminels sont donc indicatifs, et doivent être contextualisés au cas par cas.

Est-ce que ça vaut le coup?

Évidemment, la réponse est un « NON » retentissant. Mentir, insérer des informations trompeuses dans un document aussi important qu'un CV ne rapporte jamais. Soyez vous-même, montrez le meilleur de vous et de vos aptitudes dans le CV. La sincérité est la meilleure arme dans ces cas. Les recruteurs sauront certainement apprécier vos qualités sans que vous ayez à recourir à des "astuces" pour donner une vision de vous-même qui ne correspond pas à la réalité. Soyez convaincant et démontrez que ce qui est exprimé dans le CV correspond vraiment à votre expérience.

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