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Lazio-Naples 1-2 : victoire fracassante pour les Campaniens qui bondissent à la première place. Rome d'accord

Lazio-Napoli termine 1-2 avec un but des Azzurri à la 94e minute : voici l'analyse du match - Rome gagne aussi de manière palpitante - Aujourd'hui Atalanta-Sampdoria : les formations

Lazio-Naples 1-2 : victoire fracassante pour les Campaniens qui bondissent à la première place. Rome d'accord

Lazio-Naples 1-2 : les Azzurri s'emparent du sommet. L'équipe de Spalletti a obtenu une victoire palpitante à Rome, trouvant le but décisif à quelques secondes de la fin avec un superbe tir de Fabian Ruiz. Un signal pour le Scudetto ? Impossible de le dire avec certitude, à moins de 11 journées de la fin, mais force est de constater que le message adressé au championnat est très fort, voire très fort : avec les milanais qui peinent et la Juve, du moins pour l'instant, à distance de sécurité, les Azzurri postulent agressivement pour la victoire finale, le tout à moins d'une semaine du choc direct avec Milan qui devient un véritable tournant pour le sort du championnat.

Lazio-Napoli 1-2, l'analyse du match

Un match qui s'annonçait tendu et vibrant et les attentes, il va sans dire, ont été respectées. Napoli a tenté d'emblée de se l'approprier, mais la Lazio, au-delà du résultat, l'a mieux joué sur de longues périodes, ne manquant qu'au moment décisif. Question de tête d'abord, étant donné que l'enjeu était certainement plus élevé pour les Azzurri, contraints de gagner pour ne pas gâcher l'occasion offerte par les Milanais. Et donc, face à un Napoli imprécis et encombrant, il y avait une Lazio plus balle au pied et lâche, pourtant incapable de concrétiser les occasions qu'elle avait. Luis Alberto, Milinkovic, Immobile, Felipe Anderson et Pedro ont fait peur à Ospina, sans toutefois trouver le bon rebondissement, tandis que les Azzurri, après une phase de souffrance, ont réussi à frapper.

Le premier scratch a été causé par Insigne d'une frappe du pied droit de son côté (62'), juste avant d'annuler son doublé pour hors-jeu. Mais les Biancocelesti ne se sont pas découragés et à la 88e minute, ils ont gelé Spalletti avec un tir de l'extérieur de Pedro, sur lequel le gardien colombien n'a rien pu faire. Le 1-1 a semblé mettre fin à la dispute, laissant tout inchangé tant au niveau du Scudetto que de la Ligue des champions, mais à la 94e minute, quelques secondes seulement avant que Di Bello ne siffle la fin, le tir de Fabian Ruiz à distance a donné à Napoli 3 points très lourds, peut-être même décisifs pour le championnat.

Les paroles de Spalletti et Sarri

« C'est une super équipe, composée de gars qui n'ont peur de rien – exulte Spalletti -. Ils nous cassent ic... en disant qu'on n'a pas de caractère et pourtant mon équipe a tout bon, on n'a pas accepté le match nul contre la Lazio qui s'en sort très bien et on est allé chercher la victoire. On se bat pour de grands objectifs, on est devant des équipes bien équipées, mais on ne peut pas dire qu'il faut gagner sinon ce sera un échec, ce n'est pas vrai et ce n'est pas bien".

"C'était un bon match, seulement nous avons joué en première mi-temps, en regrettant de l'avoir terminé 0-0, puis la naïveté à la 94e minute nous a coûté le match - a répondu Sarri - L'aspect positif est qu'il y a trois mois, le Napoli était injouable pour nous, mais aujourd'hui nous les avons affrontés plus que équitablement, ayant plus d'occasions de marquer qu'eux. Quelle tournure prend la saison ? Le but est de faire du mieux possible, de continuer à grandir du point de vue de la qualité exprimée et de s'améliorer dans les détails, pour que la performance se transforme en résultats ».

Spezia-Roma 0-1, l'analyse du match

Pour une partie de Rome qui pleure, il y en a une autre qui rit, mais à la fin d'un jeu plein de souffrance. Les Giallorossi de Mourinho n'ont conquis La Spezia qu'à la 99e minute sur un penalty d'Abraham, au terme d'un véritable siège qui n'a été repoussé que par un grand Provedel. Le gardien ligure a quasiment tout sauvé, sauf justement le penalty accordé par Fabbri dans les arrêts de jeu pour une faute (claire) de Maggiore sur Zaniolo. La Roma méritait la victoire, cela ne fait aucun doute, même s'il est juste de dire que le match a été influencé par la décision de l'arbitre d'expulser Amian pour un second carton jaune en fin de première mi-temps : un choix discutable, étant donné que la faute semblait vraiment légère.

En tout cas, les Giallorossi dominaient déjà avant, comme en témoignent les nombreuses occasions qu'ils ont eues dans les 20 premières minutes, surtout avec Pellegrini (deux fois), Abraham et Mancini. En seconde période pourtant, grâce à la supériorité numérique, l'équipe de Mou fonce tête baissée sur un poteau avec Cristante, gâche une chance fracassante avec Veretout, trouve un super Provedel sur Zaniolo et Pellegrini, voit le ballon danser sur la ligne après une croix de Mkhitaryan. A la 96e minute, Zaniolo a frappé deux barres transversales consécutives (!) depuis une excellente position, mais la première a été plombée par Maggiore, qui est entré fort sur son visage pour tenter de contrer sa tête : Fabbri, rappelé par le Var, a pointé le point de penalty et Abraham a marqué le très convoité premier but.

Atalanta-Sampdoria (20.50hXNUMX, Dazn), les formations

Pour clôturer la 27e journée, on retrouvera l'Atalanta et la Sampdoria, attendues d'un match très important tant pour la zone des Champions que pour le salut. Les nerazzurri, de retour de la belle victoire à Athènes, peuvent revenir à moins de 3 points de la Juventus et rester quasiment quatrièmes grâce au match à reprendre face à Turin, les Blucerchiati, en revanche, malgré un avantage de 4 points sur Venise, seraient aime s'étirer et sortir des ennuis une fois pour toutes. Bref, le match est délicat, aussi parce que Gasperini et Giampaolo devront se passer de joueurs très importants.

Les joueurs de Bergame manqueront les suspendus Djimsiti et Demiral, en plus des habituels Zapata, Muriel, Ilicic, Palomino et Miranchuk, le coach devra donc rebattre les cartes de son 3-4-1-2 en privilégiant Musso dans les buts. , Toloi, Scalvini et De Roon en défense, Hateboer, Koopmeiners, Freuler et Zappacosta au milieu de terrain, Pasalic en première ligne, Malinovskyi et Boga en attaque. Giampaolo, en revanche, devra se passer de Candreva et Bereszynski, ainsi que évidemment de Gabbiadini et Damsgaard, il optera donc pour un 4-3-1-2 avec Falcone dans les buts, Conti, Yoshida, Colley et Murru dans l'arrière, Sabiri, Rincon et Thorsby au milieu de terrain, Sensi derrière le duo offensif composé de Caputo et Quagliarella.

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