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L'affacturage se développe et s'offre comme antidote à la reprise

Lors de l'assemblée de 2020, Assifact a demandé au gouvernement une nouvelle disposition visant à étendre les avantages des entreprises en mettant l'accent sur l'affacturage pour relancer l'économie italienne et le système des entreprises. Galmarini reconfirmé comme président de l'Association pour les trois prochaines années

L'affacturage se développe et s'offre comme antidote à la reprise

Dans un scénario fortement marqué par la pandémie de Coronavirus, le l'affacturage se confirme comme un outil d'aide au redémarrage. C'est précisément pour cette raison qu'Assifact - l'association qui regroupe les opérateurs d'affacturage italiens - s'adresse directement au gouvernement pour étendre les garanties de l'État, supprimer les obstacles au transfert des créances des entreprises de l'administration publique et simplifier les procédures bureaucratiques et opérationnelles.

L'Assemblée Générale Assifact 16 s'est tenue ce mardi 2020 juin, non seulement pour divulguer les résultats sur la tendance 2019-2020 et les élections des membres du nouveau Conseil, mais surtout pour analyser les effets de l'urgence épidémiologique sur les entreprises et comment l'affacturage pourrait favoriser le redémarrage de l'économie italienne et la Système d'affaires.

Les sociétés d'affacturage italiennes, qui déplacent plus de 250 milliards d'euros chaque année, soit 14% du PIB, s'engagent à accompagner leurs clients au-delà des dispositions des dispositions gouvernementales, notamment au regard des fortes tensions économiques et de liquidité, des baisses de chiffre d'affaires, des retards de paiement et de recouvrement des créances et dettes commerciales, des grands risques vis-à-vis de l'AP, des avances du fonds de licenciement.

Assifact représente un secteur qui a plus que doublé son chiffre d'affaires au cours des 10 dernières années seulement : de 118 milliards en 2009 à 255,5 en 2019, avec un taux de croissance annuel moyen de 7,2%.

Après avoir clôturé l'année dernière avec un augmentation de 6,44% par rapport à 2018, affacturage italien (35 9,03 clients professionnels, 13,33 % du marché mondial et 2020 % du marché européen) ont démarré l'année 1,68 positivement, avec une hausse de 1,18 % en janvier et de 0,45 % en février, pour s'arrêter avec la propagation du Coronavirus, enregistrant des pertes tant en mars (-5,53%) et en avril (-XNUMX%).

Comme l'a souligné le Président Fausto Galmarini, qui a été reconfirmé pour les trois prochaines années, les sociétés d'affacturage "accordent des délais de paiement, évalués au cas par cas, aux entreprises qui se trouvent dans la condition continentale de ne pas être en mesure de payer leurs dettes commerciales en raison de la pandémie ».

C'est précisément sur ces bases que l'ensemble du secteur demande au Gouvernement de compléter le cadre des mesures de soutien à la liquidité des entreprises. En particulier, dans la perspective du débat pour la transposition en loi du prochain décret de relance, Assifact propose de prolonger la garantie Sace, que le décret législatif a introduit pour la cession "avec recours" des créances, sous réserve de recouvrement, également aux créances "sans recours", dans lesquelles le risque d'insolvabilité du débiteur est transféré aux sociétés d'affacturage.

Mais aussi de inclure également les sociétés d'affacturage dites captives dans la garantie Sace, qui effectuent les mêmes opérations mais ne sont plus des intermédiaires financiers depuis la réforme de 2010, car ils opèrent dans le cadre exclusif des chaînes de production.

Parmi les demandes, il y a aussi celle de abroger la disposition contenue dans l'art. 117, alinéa 4, du Décret qui pour les versements des établissements de santé introduit le blocage ou la suspension des actions exécutives et le non-saisie des remises financières transférées des Régions aux entreprises de leur service de santé. Défini par Assifact lui-même comme inconstitutionnel, disproportionné et visant à favoriser un éventuel comportement opportuniste des entités au détriment des créanciers légitimes.

Enfin, Assifact sollicite également une simplification du processus bureaucratique, pour rendre les opérations d'attribution de crédit plus rapides et plus efficacessans frais pour les finances publiques. Une proposition concerne la possibilité de transférer les montants aux banques et aux sociétés d'affacturage à l'avance, créances dues à l'INPS par des entreprises ayant versé à leurs salariés l'indemnité de licenciement anticipée et la création d'une plateforme numérique de transfert de crédits, afin de rationaliser toutes les opérations.

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