La gouvernance de Telecom Italia est aussi au point mort que le Porcellum. Dire que c'est le président exécutif du groupe, Franco Bernabè, qui parle de la protection des actionnaires minoritaires : "Il faut des changements de statut, les voix au conseil doivent être proportionnelles aux voix à l'assemblée". Pour ce faire, il faut cependant le soutien de Telco, qui a la possibilité de tout bloquer dans la réunion.
« C'est un peu comme la loi électorale italienne – a commenté Bernabè – tout le monde veut la changer, mais tout le monde est d'accord parce qu'elle permet de nommer des représentants avec des listes bloquées ».