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Fincantieri, le titre s'envole après des comptes aux revenus records

Le bénéfice consolidé atteint 69 millions d'euros, tandis que les revenus augmentent de 9 % - Le conseil d'administration propose un dividende de 1 centime par action - Des revenus toujours en croissance pour 2019

Fincantieri, le titre s'envole après des comptes aux revenus records

Fincantieri entre en bourse, réalisant l'une des meilleures performances du panier milanais. A 12.13h13,77 le titre gagne 1,157%, passant à 2018 euros. Les comptes XNUMX, clôturés par un bénéfice consolidé égal à 69 millions d'euros, une augmentation par rapport aux 53 millions de 2017, et une bénéfice ajusté s'élevant à 108 millions d'euros, hors produits et charges étrangers à l'exploitation courante, contre 91 millions l'année précédente.

Sur moi recettes, qui a atteint 5,5 milliards (+9%), tandis queEbitda du groupe progresse de 21% à 414 millions d'euros, avec un impact sur le chiffre d'affaires et le résultat (Marge d'Ebitda) égal à 7,6 % (6,8 % en 2017). Fincantieri précise que le secteur de la construction navale a apporté une contribution significative aux marges "grâce à l'excellente performance des commandes en cours" tant pour les navires de croisière que pour les navires militaires.

Les ordini acquis en 2018 s'élevait à 8,617 milliards d'euros (+1%). Le charge de travail total à fin décembre atteint 33,8 milliards, dont 25,5 milliards d'euros de carnet de commandes (22 milliards à fin 2017) et 8,3 milliards de carnet de commandes souple (4,1 milliards) avec une évolution des commandes en portefeuille attendue jusqu'en 2027. Le carnet de commandes et la charge de travail globale garantissent respectivement environ 4,7 et 6,2 années de travail par rapport aux revenus générés en 2018. investissements ils sont passés à 161 millions, dont 124 millions en immobilisations corporelles. 68% des investissements totaux ont été réalisés par la maison mère. L'incidence des investissements sur les revenus a diminué à 2,9 % contre 3,2 % en 2017.

Aggravation de la situation financière nette est passé de 314 millions en 2017 à 494 millions au 31 décembre 2018 en raison d'une "dynamique financière typique des navires de croisière", explique la compagnie dans une note.

Giuseppe Bono, PDG du groupe, commente : « Les résultats que nous avons présentés démontrent une fois de plus que la nôtre est une entreprise leader, une véritable référence dans le panorama mondial de la construction navale, un ensemble d'excellences qui mutualisent les compétences et les ressources dans les différents domaines. L'augmentation déjà significative des revenus, qui croissent de près de 10%, n'est qu'une première étape dans la voie qui vise à augmenter les volumes d'environ 50% d'ici 2022 et qui nécessitera un effort d'organisation considérable et une vision claire des défis futurs."

En vertu des résultats obtenus en 2018, le conseil d'administration de la société de Trieste proposera à l'assemblée générale des actionnaires, prévue le 5 avril prochain, une dividende égal à 1 centime par action, pour un dividende total estimé à 16,87 millions.

Pour la 2019, Fincantieri estime des résultats "en ligne" avec ceux de l'an dernier. Les revenus, lit-on dans la note de la société, "poursuivront sur une trajectoire de croissance supplémentaire avec une marge en termes de pourcentage d'Ebitda en ligne avec celle de 2018".

Les analystes de Kepler Cheuvreux ont révisé le jugement sur le titre de "conserver" à "acheter" avec un objectif de cours relevé de 1,15 à 1,3 euros. Les recommandations sur le titre, selon les données recueillies par Bloomberg, se répartissent désormais en 4 « achats », 3 « maintiens » et 1 « vente » avec un objectif de cours moyen sur 12 mois de 1,35 euro, ce qui implique un potentiel de hausse de environ 20% de la cotation actuelle.

Au cours de la conférence téléphonique qui a suivi les comptes, Bono a également parlé de laOffre Stx, sur lequel Fincantieri attend l'accord de l'UE antitrust : « Nous avons signé un accord avec le gouvernement français pour l'acquisition de 50 % (plus 1 %) des Chantiers de l'Atlantique. L'acquisition est soumise à l'approbation de l'Antitrust et la France et l'Allemagne ont décidé de transmettre le dossier à la Commission européenne », a rappelé le PDG. "Nous travaillerons avec l'UE pour mettre en place la structure de l'acquisition afin d'accélérer le processus, dont nous sommes convaincus qu'il sera couronné de succès", a-t-il conclu.

(Dernière mise à jour : 12.16h26 le XNUMX février).

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