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Ligue des champions : finale espagnole entre le Real et l'Atlético Madrid à San Siro

Ce soir à Milan, un derby 2014% madrilène décerne la très convoitée Ligue des champions : s'agira-t-il de la onzième victoire du Real de Zidane ou de la première de l'Atletico Madrid de Simeone ? - La finale XNUMX se répète - Milan envahi par les Espagnols des deux clubs qui ont des entraîneurs qui les ont joués et inspirés en Italie

Ligue des champions : finale espagnole entre le Real et l'Atlético Madrid à San Siro

Le onzième triomphe ou la première grande joie ? Entre le Real (10 victoires) et l'Atlético (aucune) il y a à peine une dizaine de matches de Ligue des champions, le dernier en 2014 dans ce qui était la première version d'une finale 20.45 % madrilène. Au regard de l'histoire, de la tradition et du talent, même le second acte semblerait sans histoire, pourtant à San Siro (XNUMXhXNUMX) rien n'est acquis. Le film de cette Ligue des champions dit tout, qui a vu le Real souffrir contre Wolfsburg et Manchester City face à l'Atletico Madrid qui a éliminé Barcelone et le Bayern Munich, mais surtout la tradition des derbies madrilènes, revenus imprévisibles après l'avènement de Simeone. .

Si le Real Madrid peut compter sur Zidane sur le banc mais surtout sur des phénomènes tels que Cristiano Ronaldo, Benzema et Bale sur le terrain, l'Atletico Madrid s'identifie surtout au Cholo, véritable symbole d'une renaissance qui a ramené les Colchoneros parmi les premier en Europe après des années de difficultés. "Jouer une finale est toujours spécial mais nous sommes prêts - a expliqué Zizou dans la salle de presse de San Siro. – J'aime les pressions, elles font partie de ce métier et elles donnent une énergie particulière aux matchs. Par rapport à 2014 ce sera différent, plusieurs joueurs ont changé et il est impossible de faire des pronostics. Je peux seulement dire que nous ferons de notre mieux, gagner cette coupe serait comme mettre la cerise sur une saison positive."

Le Français semble presque vouloir échapper au rôle de grand favori, pourtant les attentes sont presque toutes tournées vers son Real Madrid, techniquement et historiquement supérieur au "cousin" rouge et blanc. Mais nous voilà sur le terrain de Simeone, qui a toujours été très doué pour se déguiser en outsider puis frapper là où ça fait le plus mal. "Jouer une autre finale de Ligue des champions est un rêve", a réitéré Cholo. - Par rapport à il y a deux ans, nous avons changé certains joueurs mais pas notre façon de jouer ni les valeurs qui nous distinguent. Ce sera un défi très difficile et âprement disputé, je pense que celui qui domine le milieu de terrain soulèvera la coupe à la fin. Quelqu'un a-t-il critiqué mon jeu ? Je m'en fous, la seule chose qui compte c'est de gagner ». Deux philosophies antipodes et un Champions en jeu : Madrid joue pour l'honneur et le fait dans une ville pleine de tradition comme Milan, littéralement envahie depuis hier par les supporters blancos et colchoneros. Les plus de 60 4 supporters espagnols (certains d'entre eux sans billets) profiteront d'une finale pleine de stars, dont les deux entraîneurs sur le banc. Zidane confirmera le 3-3-4 qui l'a mené au dernier acte de la Ligue des Champions et à un pas de la Liga : Keylor Navas dans les buts, Carvajal, Pepe, Sergio Ramos et Marcelo en défense, Modric, Casemiro et Kroos en milieu de terrain, Bale, Benzema et Cristiano Ronaldo en attaque. Seul banc pour les protégés de Florentino Perez Isco et James Rodriguez, démontrant que le Français est bien plus qu'une marionnette entre les mains du président blanco. Simeone répondra avec le 4-2-XNUMX habituel tout en cœur, en courage et en rapidité : Oblak entre les poteaux, Juanfran, Gimenez, Godin et Filipe Luis à l'arrière, Saul, Gabi, Augusto et Koke au milieu de terrain, Griezmann et Torres en haut devant.

Des centaines de pays sont connectés, avec un nombre de téléspectateurs dans le monde estimé à plus de 400 millions. Les yeux de la Terre seront donc braqués sur Milan et San Siro : un scénario, d'un point de vue footballistique, auquel nous n'étions plus habitués et qui, après plusieurs années, ravive des émotions qui ne se sont jamais vraiment éteintes. .

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