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Bourse et prise de bénéfices poussent Ftse Mib sous les 24 XNUMX

Réalisations à Piazza Affari après la ruée de ces dernières semaines: les banques, Atlantia, Tim et Prysmian souffrent et l'indice Ftse Mib tombe sous le seuil de 24 mille points de base - Nexi, Banca Generali, Stm et Buzzi vont à contre-courant

Bourse et prise de bénéfices poussent Ftse Mib sous les 24 XNUMX

La semaine des s'ouvre en maillot noir Place Afari, qui glisse sous les 24 points -0,52% (23.896). Ils pèsent Télécom -2,4% Prysmian -2,14% et les banques dans leur ensemble : Ubi -1,72%; Banco Bpm -1,79%; Unicredit -0,82 %. Hors de la liste principale députés il perd 5,23%, après le bond à deux chiffres de vendredi. C'est encore pire propagé: l'écart de rendement entre les taux 157 ans italiens et allemands s'est élevé à 1,29 points de base +1,38%, avec un taux de 0,2% pour les BTP et -2019% pour le Bund. Pendant ce temps, l'État fédéral allemand a déclaré un excédent record de 13,5 milliards d'euros pour XNUMX,

La propension au risque s'affaiblit également dans le reste de l'Europe, même après l'ouverture correspondante de Wall Street, progressant inlassablement et proche des plus hauts historiques, grâce aux valeurs technologiques et en attendant demain le début de la saison trimestrielle avec les grands banques et l'arrivée des Chinois pour la signature des accords commerciaux de phase un, attendue mercredi. Cette semaine, il y a un chapitre sur les droits qui concerne également l'Europe, en effet le commissaire européen au commerce Phil Hogan, demain à Washington, aura une série de réunions importantes pour "identifier un terrain d'entente pour des solutions partagées afin de renforcer les relations commerciales". Les relations sont tendues en raison des tarifs imposés par Trump sur l'acier et l'aluminium, tandis que les voitures allemandes et les produits français sont menacés. L'OMC a également autorisé les États-Unis à imposer des droits de douane sur 7,5 milliards de produits européens pour des subventions publiques à Airbus (un fardeau qui affecterait également l'Italie)

Dans ce contexte, Francfort perd 0,26 % ; Parigi -0,09%; Madrid -0,26 %. Tronçonnage Londra +0,39%, favorisé par la baisse de la livre de plus d'un demi-point face à l'euro et au dollar. Pousser la devise britannique à la baisse reviendrait à renforcer l'hypothèse d'une prochaine baisse des taux. Entre la monnaie unique et le billet vert, en revanche, le taux de change est légèrement en faveur de la première et évolue autour de 1,138.

Retiré les matières premières : Or -0,46 %, 1552,85 1 $ l'once ; Brent -64,33%, XNUMX dollars le baril.

Sur la Piazza Affari, il n'y a que six blue chips positifs : nexi +1,57%, reprise après la chute de la dernière séance avec la cession de 7,7% du capital par les fonds d'investissement qui contrôlent l'entreprise ; Banca Generali +1,26%, dans l'attente des données sur la récolte 2019 ; stm +0,85 % ; Buzzi +0,51 % ; Exor +0,29 % ; Moncler + 0,22%.

Du côté des ventes, Prysmian paie le prix d'un nouvel arrêt de la liaison à haute tension entre l'Ecosse et le Pays de Galles appelée Western Link. Dessous Amplifon -1,9% :

C'est en rouge Atlantia -1,44%, à l'approche du conseil des ministres de la semaine prochaine qui pourra se prononcer sur la révocation des concessions autoroutières, avec l'éventuel transfert des activités à Anas. Aujourd'hui, la société Benetton aurait dû nommer Carlo Bertazzo directeur général des activités italiennes

Mouvements dans la voiture. Fca rapporte 0,62%, tandis que la future mariée, Peugeot, à Paris perd 0,85%. Jean-Philippe Peugeot, patron de la holding Etablissement Peugeot Frères, a indiqué dans un entretien au journal L'Est Républicain que la famille souhaitait exercer l'option d'augmentation de sa participation dans la nouvelle société issue de la fusion de 2,5% des constructeurs automobiles. Toujours à Paris les actions Renault (-2,82%) a atteint un plus bas en six ans, suite aux avancées du FT sur un projet de Nissan de quitter l'alliance. Les actions de Renault et de Nissan ont chuté de près de 40 % depuis l'arrestation de l'ancien PDG Carlos Ghosn à Tokyo en novembre 2018 pour malversations financières, ce que le dirigeant nie.

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