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Bactéries résistantes aux antibiotiques, alerte depuis la Grande-Bretagne : jusqu'à 80 XNUMX décès sont à risque

Selon un rapport du gouvernement britannique, en cas de propagation d'infections causées par des bactéries résistantes aux antibiotiques, il pourrait y avoir jusqu'à 200 80 cas d'infection et jusqu'à XNUMX XNUMX victimes.

Bactéries résistantes aux antibiotiques, alerte depuis la Grande-Bretagne : jusqu'à 80 XNUMX décès sont à risque

Les controverses et les inquiétudes concernant la propagation de infections causées par ce que l'on appelle les « bactéries résistantes aux antibiotiques ». Selon un rapport publié par le gouvernement britannique, en cas d'"épidémie", elles pourraient survenir jusqu'à 200 80 cas de contagion et jusqu'à XNUMX XNUMX victimes.

Toujours dans le rapport rédigé par le Department for National Emergency Management du gouvernement britannique, publié par le Guardian, on lit que le risque de nouvelles infections par des bactéries résistantes aux antibiotiques est "destiné à augmenter de manière significative au cours des 20 prochaines années". Il y aurait E.coli et Staphylococcus aureus parmi les bactéries les plus insidieuses.

Hier le La ministre de la Santé Béatrice Lorenzin expliquant qu'avec celui des vaccins, c'est « le premier point de santé publique au moins depuis que je suis ministre. Aujourd'hui, nous avons une première page, c'est bienvenu, mais c'est un sujet qui devrait être abordé plus souvent à la une, en fonction de ce que nous disons et pas seulement de ce que les autres disent de nous. Ceci - a poursuivi Lorenzin - est l'un des problèmes sur lesquels tous les gouvernements du monde, y compris la Chine et l'Inde, se concentrent, car c'est une cause de décès". Par ailleurs, le ministre a précisé que par rapport à l'usage des antibiotiques par l'homme « nous travaillons depuis des années sur une prescription correcte des antibiotiques - a-t-il dit - il ne faut pas en abuser et cela dès le plus jeune âge, avec le risque que l'on retrouve quand il faut que ça n'ait plus d'effet, ce n'est pas seulement une question de coûts mais de santé publique".

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