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Etats-Unis : chômage plus bas que prévu, boom du déficit commercial

Les demandes initiales de subventions sont passées à 278 290 unités, bien en deçà des 45,56 XNUMX attendus par les analystes - Déficit commercial au plus haut depuis deux ans à XNUMX milliards - Productivité en baisse.

Etats-Unis : chômage plus bas que prévu, boom du déficit commercial

Le nombre augmente moins que prévu Travailleurs américains qui a fait la demande initiale de prestations de chômage la semaine dernière. Selon les données communiquées par le département américain du Travail, en effet, les demandes initiales ont augmenté de 11 31 unités au cours de la semaine terminée le 278 janvier, atteignant XNUMX XNUMX.

Les données, comme mentionné, étaient meilleures que les prévisions des analystes, qui s'attendaient à une augmentation beaucoup plus substantielle jusqu'à 290 6.500 unités. La moyenne des quatre dernières semaines, jugée plus fiable car non soumise aux fluctuations du marché, a enregistré une baisse de 292.750 unités à 400. En tout cas, le chiffre reste bien en deçà des XNUMX XNUMX unités, un seuil qui selon les analystes signale une impasse.

Pousse le déficit commercial des Etats-Unis qui, au mois de décembre, a atteint les niveaux les plus élevés depuis maintenant deux ans. C'est ce qu'a communiqué le département du Commerce, qui a précisé que le déficit s'est creusé de 17,1% en décembre, s'établissant à 45,56 milliards, contre 39,75 en novembre. Il s'agit de la plus forte augmentation jamais enregistrée, sur une base mensuelle. Les analystes s'attendaient à un chiffre légèrement inférieur à celui du mois précédent, à 38,5 milliards.

Tendance discordante pour les deux flux : les exportations ont baissé de 0,8% à 194,88 milliards alors que les importations ont augmenté de 2,2% à 241,44 milliards. En ce qui concerne l'année 2014, les exportations ont bondi de 2,9 % d'une année sur l'autre pour atteindre 2.345 milliards de dollars, tandis que les importations ont bondi de 3,4 % pour atteindre 2.850 billions de dollars. 
 
En flexion le productivité aux États-Unis. En effet, selon les chiffres publiés par le Département du travail, l'indice obtenu en divisant la production par le nombre d'heures travaillées a baissé de 1,8%, après la hausse de 3,7% au troisième trimestre. Dans ce cas également, les analystes ont été déçus, car ils s'attendaient à des données inchangées.

Au lieu de cela, il grandit coût salarial unitaire, en hausse de 2,7 % par rapport au troisième trimestre et de 1,9 % d'une année à l'autre. Dans ce cas, les analystes tablaient sur une hausse de 1,2%. Les heures travaillées ont augmenté de 5,1 % au cours du trimestre, la plus forte hausse depuis 1998, tandis que les salaires horaires ont augmenté de 0,9 % (+2,1 % corrigés de l'inflation).

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