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Turin, Yes Tav de retour sur la place : "Le Gouvernement décide"

Turin retourne dans les rues samedi pour exhorter le gouvernement à débloquer les importantes infrastructures qui, si elles ne sont pas construites, auraient des coûts énormes pour notre pays et exposeraient l'Italie à un incroyable imbécile international - VIDEO.

Turin, Yes Tav de retour sur la place : "Le Gouvernement décide"

Le mouvement "Oui, Turin continue" est de retour dans les rues. Plus de deux mois après la manifestation réussie sur la Piazza Castello, au centre de la capitale piémontaise, qui a réuni des dizaines de milliers de personnes de la société civile et du monde des affaires qui veulent exprimer leur oui non seulement au TAV mais aussi plus généralement vers l'avenir et vers l'Europe, le mouvement fondé par les désormais célèbres sept professionnelles turinoises (Simonetta Carbone, Roberta Castellina, Donatella Cinzano, Roberta Dri, Patrizia Ghiazza, Giovanna Giordano, Adele Olivero : lire l'interview accordée à FIRSTonline) organiser un nouvelle mobilisation pour le samedi 12 janvier, toujours à Turin et toujours sur la Piazza Castello.

Le rendez-vous est à 11,30hXNUMX et le slogan attire toujours l'attention sur le TAV, précisément les jours où il a été publié le résultat négatif de l'analyse coûts-avantages réalisée par les commissaires nommés par le ministre Danilo Toninelli : "TAV, fini les retards !" lit l'appel lancé sur le site sitorinovaavanti.org. Pourtant, le message ne concerne pas seulement le disputé Turin-Lyon mais est en général un appel, accepté par une grande partie des citoyens, à dire Non à ceux qui disent Non à tout : du TAV à l'Europe, en passant par les JO , dans laquelle Turin a dû abandonner pour 2026, après le succès de l'édition 2006, laissant le ballon à Milan et Cortina.

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Le mouvement "Oui, Turin avance" le pointe aussi du doigt l'augmentation des péages autoroutiers à partir du 1er janvier uniquement pour les autoroutes du nord-ouest, Turin-Bardonèche, Aoste-Mont Blanc et Turin-Savone, ainsi que sur un énième retard du gouvernement sur construction de la ligne Turin-Lyon. "Ce énième report gouvernemental hypothèque sérieusement 800 millions de fonds européens pour Turin-Lyon, comme le soulignait fin 2018 le porte-parole de l'UE. Si le TAV s'arrête, 800 personnes perdront leur emploi, actuellement en poste à Turin-Lyon ; il n'y aura pas les 6000 50 embauches prévues, 4 % pour la main-d'œuvre locale, et une hypothèque de XNUMX milliards d'euros sera émise sur l'avenir de nos enfants, sans compter les pénalités ».

Enfin, comme l'ont souligné les maires du Val di Susa, le risque est que les poids lourds se déversent sur les routes nationales, pénalisant la population locale et - à ce stade oui - mettant en danger l'environnement. "Pour ces raisons, nous voulons exprimer notre volonté d'aller de l'avant avec le TAV et avec l'infrastructure du pays pour solliciter une réponse rapide du gouvernement".

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