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Telecom Italia-syndicats : accord sur 4.500 XNUMX licenciements

L'accord, signé dans la nuit après un torrent de négociations, prévoit un plan de préretraite, de reconversion et d'internalisation

Après une négociation fluviale, Telecom Italie et syndicats catégorie Slc Cgil, Fistel Cisl et Uilcom Uil ont signé hier soir un accord pour la gestion de Licenciements 4.500. La médiation du gouvernement, qui a débuté au ministère du Travail vers midi hier, a été décisive.

L'entreprise a accepté la demande des syndicats d'utiliser je contrats de solidarité pour 29.500 XNUMX travailleurs au lieu du fonds de licenciement extraordinaire. Le contrat de solidarité ne s'appliquera pas aux 14 travailleurs du réseau, dont la séparation est légale Agcom a donné le premier feu vert.

En matière de licenciements, l'accord prévoit également le recours à préretraite prévu à l'article 4 de la loi Fornero. Cette année, les travailleurs qui avaient déposé une demande auprès de l'accord signé en 2015 seront éligibles à la retraite anticipée, tandis qu'en 2019, ce sera à ceux qui acquièrent le droit à la retraite avant le 31 mai 2024. L'année suivante, ce sera le tour des travailleurs qui acquièrent le droit à la retraite d'ici le 31 décembre 2025.

Pour résorber les licenciements sont également prévus redéveloppements e intériorisations.

Telecom a également déclaré qu'il était disponible pour rouvrir à partir de septembre contrat de deuxième niveau, qui avait été annulée dans le passé par l'entreprise elle-même pour adopter un règlement unilatéral.

A ce stade, l'accord signé avec les syndicats sera soumis à la consultation des travailleurs.

L'accord de ce soir est venu après un bras de fer long, le dernier jour utile prévu par la procédure. En janvier, Tim avait présenté aux syndicats un plan de restructuration du personnel qui, face à des milliers de licenciements, proposait 6.500 3.500 départs volontaires (dont préretraites et intéressements), 2 XNUMX reconversions et XNUMX XNUMX embauches à financer par la solidarité expansive. Les syndicats s'y sont opposés, contestant surtout le recours à la solidarité, un instrument qui ne prévoyait pas de délai d'application, et en mars l'entreprise avait proposé l'hypothèse du CIGS. Après une série de réunions au Ministère, donc avec la médiation du gouvernement, l'accord de ce soir a été trouvé.

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