Les Oil Games dominent les conflits anciens et nouveaux et les intérêts américains dans l'industrie du pétrole de schiste sont soudés aux visées conservatrices des Saoudiens et à celles des Russes hors Opep : c'est pourquoi une paix stable au Moyen-Orient…
L'avion avec 91 personnes à bord s'est écrasé peu de temps après son décollage de l'aéroport de Sotchi. Il était à destination de la Syrie et transportait également des membres de l'Ensemble Alexandrov, la chorale militaire russe.
Après 4 ans de contrôle rebelle dans certains quartiers de la ville, l'armée nationale syrienne a aujourd'hui repris le contrôle d'Alep.
L'accord pour l'évacuation des civils et des rebelles de l'Est de la ville est suspendu - L'ONU appelle à l'arrêt du "carnage" et Amnesty International parle de "crimes de guerre"
Les rebelles et Moscou confirment le cessez-le-feu, mais diverses sources affirment que les forces fidèles à Assad ont tué des dizaines de civils, dont des femmes et des enfants
"Je m'appelle Sergio Zanotti et je suis prisonnier ici en Syrie depuis sept mois. Je demande au gouvernement italien d'intervenir contre moi avant mon éventuelle exécution" - Farnesina informée et au travail sur l'affaire
De la pneumonie d'Hillary Clinton, qui assombrit sa candidature aux élections présidentielles désormais imminentes, à la trêve en Syrie en passant par la mauvaise journée de la Bourse de Milan et l'actualité du travail et des retraites : voici les cinq actualités…
L'espoir de paix en Syrie a commencé au coucher du soleil aujourd'hui, lorsque le cessez-le-feu entre les factions militaires convenu par les États-Unis et la Russie a été déclenché - Président Assad : "Nous reprendrons le pays".
Les affrontements entre l'armée et les groupes rebelles continuent de déchirer le pays, et se concentrent surtout dans la région d'Alep - La photo de l'enfant Omran Daneesh, qui a l'air incrédule devant lui assis dans une ambulance, fait le tour…
Les bombardements des deux parties ces derniers jours ont touché des usines de distribution, laissant les civils sans eau ni électricité - l'ONU appellera à une trêve humanitaire de 48 heures pour reconstituer les approvisionnements.
Les troupes gouvernementales ont repris le contrôle du site archéologique de Palmyre, une ville devenue symbole de la fureur dévastatrice de l'Etat islamique. Cela a été rapporté par la télévision syrienne et l'Observatoire des droits de l'homme
Cependant, la base aérienne de Hemeimeem, dans la province de Lattaquié, et la base navale du port de Tartous continueront d'être opérationnelles
Le Nord irait aux Kurdes, le Centre aux Sunnites et le Sud avec Damas comme capitale accueillant Alaouites, Druzes, Chrétiens et autres - Même Assad serait d'accord - La clé de voûte est dans le rôle joué par les Kurdes-Syriens.
A minuit heure locale, la trêve convenue entre les USA et la Russie est déclenchée, mais elle s'avère fragile : une voiture piégée explose dans une ville du centre du pays et fait deux morts.
CONFÉRENCE SIOI - Le ministre croate des Affaires étrangères Kovac : "L'UE, la Russie, la Turquie et les États-Unis doivent travailler ensemble pour stabiliser la situation en Syrie" - En Europe, Zagreb veut protéger Schengen et "favoriser le processus d'adhésion de la Bosnie à l'Union".
Des sources américaines confirment l'anticipation rapportée par al-Jazeera. L'accord entre les États-Unis et la Russie devrait être officialisé prochainement - Hors opérations contre Daech, les qaïdistes d'al-Nosra et d'autres organisations considérées comme terroristes par le Conseil de sécurité…
Des troupes terrestres en Syrie pour combattre l'État islamique - Le ministre turc des Affaires étrangères : "nous avons besoin d'une stratégie large et axée sur les résultats dans la lutte contre le terrorisme".
Un compromis a été trouvé entre le Groupe international de soutien et Moscou, qui pourra cependant achever son offensive sur Alep en sept jours - Mais la Russie n'arrêtera pas les attaques aériennes car la fin des hostilités ne sera pas…
ENTRETIEN AVEC STEFANO SILVESTRI (Iai) - "Le clash naît du possible changement des politiques sociales dû à la baisse des revenus pétroliers" - Mais "réduire la production pour augmenter le prix serait un risque à la fois pour Riyad et pour Téhéran"…