La phase la plus sombre des deux années sombres de l'économie mondiale est-elle terminée ? Et si oui, d'où vient l'étincelle ? "Les mains de l'économie", la chronique historique de Fabrizio Galimberti et Luca Paolazzi, le dévoilera samedi
S'exprimant lors de l'inauguration de l'année académique de l'Université de Cagliari, le gouverneur de la Banque d'Italie Visco a souligné que "seulement 44% des Italiens ont des compétences numériques, 13 points de pourcentage de moins que la moyenne de l'UE, un domaine dans lequel nous sommes quatrième dernier"
La zone euro est plus stagnante que croissante. Le PMI mondial des tâches est au plus bas depuis février 2016. Mais il y a des améliorations aux États-Unis et en Chine. Incertitude liée au Brexit liée aux leçons alors que le dialogue sino-américain sur les tarifs est constructif. Eh bien les bâtiments…
L'évolution des prix à la consommation reste très faible. Les entreprises font des remises et sacrifient des marges pour capter la demande, malgré la hausse des coûts de main-d'œuvre.
Les exportations italiennes augmentent malgré le ralentissement de l'économie mondiale. Les taux dans le monde baissent à nouveau mais l'inflation reste faible Peurs et secousses des marchés financiers.
Rendez-vous le samedi 5 octobre pour le nouveau numéro de "Le Lancette dell'economia", l'analyse mensuelle de Fabrizio Galimberti et Luca Paolazzi
L'économie mondiale est maintenue à flot par le développement des pays émergents et par les consommateurs américains. La baisse des taux d'intérêt donne à l'Italie l'opportunité de réduire le déficit public et de relancer la demande intérieure. Nous avons besoin d'une politique stable…