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Travail intelligent pour les fonctionnaires : les lignes directrices en 5 points

Le ministre de la Pa, Renato Brunetta, a présenté les lignes directrices sur le travail intelligent pour les employés publics - Voici, en bref, quelles seront les règles pour la Pa

Travail intelligent pour les fonctionnaires : les lignes directrices en 5 points

Une semaine après son retour au bureau avec pass vert obligatoire viens en premier directives de travail intelligentes pour les fonctionnaires. Les nouvelles règles, qui seront établies par des contrats et des accords individuels entre l'AP et le travailleur, ont été présentées ce matin par le ministre de l'Administration publique, Renato Brunetta, aux syndicats. 

les bases pour commencer: ce sera l'administration qui devra fournir à ses employés les "technologies nécessaires" au travail et un équilibre entre le travail et la vie privée du travailleur devra être garanti. "La discussion d'aujourd'hui était nécessaire car, en attendant la définition des renouvellements et donc la régulation du travail intelligent dans les contrats, mais aussi l'approbation d'ici au 31 janvier des plans intégrés d'activité et d'organisation (Piao), nous pensons qu'elle est utile aux 32 XNUMX administrations italiennes. pouvoir compter sur directives de travail intelligentes qui anticipent ce qui sera prévu dans les contrats », Brunetta a expliqué, soulignant que "dès fin janvier nous aurons structuré, régulé, contractualisé et organisé le travail intelligent hors urgence, qui devra s'inscrire pleinement dans l'un des modes d'organisation du travail dans l'Administration publique", a conclu le ministre.

SMART WORKING DANS L'AP : LES RÈGLES GÉNÉRALES

L'administration publique qui a l'intention d'utiliser le travail intelligent doit garantir "l'invariance des services rendu aux utilisateurs » mais aussi « rotation du personnel autorisé à effectuer un travail agile, assurant dans tous les cas la prévalence du travail en face à face pour chaque travailleur ». D'où le texte contenant les lignes directrices présenté par la ministre Brunetta aux syndicats. Il ne sera donc pas possible de travailler à distance 5 jours sur 5, mais il faudra alterner le travail agile avec le travail de bureau, en passant cependant la plupart des journées derrière le « desk officiel ». 

OUTILS INTERNET ET TECHNOLOGIQUES

En aucun cas, le travailleur en smart working ne pourra utiliser votre ligne fixe travailler à la maison. Les travailleurs doivent recevoir "équipement technologique adapté» et seule « la connexion internet fournie par l'employeur » doit être utilisée pour accéder aux applications et services de votre établissement. L'objectif est de protéger "la confidentialité absolue des données et informations traitées lors de l'exécution du travail intelligent". Deux modes d'accès ont été mis en place : le cloud, s'il a été activé par l'administration, ou le VPN.

TRAVAIL INTELLIGENT ET DÉCONNEXION

Les fonctionnaires qui travaillent intelligemment doivent se voir garantir un bon équilibre entre vie professionnelle et vie privée. Pour cette raison, les travailleurs auront droit à "une période de repos journalier consécutif d'au moins 11 heures pour récupérer des énergies psychophysiques », exactement comme prévu dans le contrat de travail en présentiel. Les lignes directrices rappellent également que le travail intelligent peut être fait sans contraintes de temps "dans les limites de la durée maximale journalière et hebdomadaire de travail fixée par la CCNL". Le travailleur a également la possibilité de demander des autorisations horaires, personnelles, familiales, syndicales et celles de la loi 104. Les jours où le travail intelligent est effectué - le texte précise - "il n'est pas possible d'effectuer heures supplémentaires, déplacements, travail défavorisé, travail effectué dans des conditions à risque ». Pour des besoins de service, le salarié en smart working peut être rappelé au bureau au moins la veille. La remise en service n'ouvre pas droit à la récupération des jours ouvrables intelligents non utilisés.

EMPLOYÉS PUBLICS : OK POUR LE TRAVAIL À DISTANCE AUSSI

Les lignes directrices établissent également la possibilité d'opter pour le "télétravail à domicile". Dans ce cas, l'employé devra se conformer aux contraintes de temps, de la même manière que le bureau. Il sera possible de travailler à domicile, en coworking ou d'exercer sa propre activité de "travail décentralisé à partir de centres satellites". L'administration sera tenue de vérifier les conditions d'éligibilité et le risque d'accidents, au moins trimestriellement.

ACCORD INDIVIDUEL

Fini le télétravail d'urgence. Le tout doit être établi par un accord individuel entre employeur et salarié dans lequel il convient d'établir la durée (éventuelle rupture anticipée), les horaires, les modalités d'exercice et le pouvoir de contrôle.  

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