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Réformes constitutionnelles : 513 XNUMX amendements déposés

La grande majorité vient de la Ligue - Forza Italia et Sel suivent avec plus d'un millier d'amendements chacun préfigurant un clash institutionnel Grasso-Finocchiaro sur la recevabilité des amendements pour le retour à l'élection directe des sénateurs - Mais l'objectif politique, c'est Fernare Renzi qui répond : "La majorité ne nous fera pas défaut"

Réformes constitutionnelles : 513 XNUMX amendements déposés

513.450 XNUMX amendements ont été déposés au projet de loi qui contient les réformes constitutionnelles et notamment celle de la réforme du Sénat que la minorité démocratique et les oppositions, malgré les deux votes favorables déjà exprimés sur le texte par la Chambre et le Sénat lors de la première lecture, voudrait annuler en instaurant l'élection directe au prorata des futurs sénateurs. Les amendements proposés ont été déposés à la commission des affaires constitutionnelles du Sénat. Palazzo Madama l'annonce sur Twitter. 

La grande majorité des amendements (510 28) ont été présentés par la Ligue. Forza Italia et Sel suivent avec plus d'un millier d'amendements chacun. Mais les plus sensibles politiquement ont été signées par XNUMX sénateurs de la minorité du Parti démocrate.

Sur la recevabilité ou non des amendements qui, en supprimant tout, voudraient réintroduire l'élection directe des sénateurs, un choc institutionnel dangereux se profile entre la présidente de la Commission des affaires constitutionnelles, Anna Finocchiaro, qui, selon le règlement, a déjà s'est déclarée contre et le président du Sénat, Pietro Grasso, parrainé à l'époque par Pierluigi Bersani, qui a plutôt laissé une brèche ouverte, critiquée par l'ancien chef de l'État Giorgio Napolitano dans les colonnes du "Corriere della sera".

Le singulier axe anti-réformateur entre la minorité Pd, la Lega, Forza Italia, le Sun et le M5S est convaincu qu'il a les chiffres de son côté, mais Renzi fait preuve de sécurité : "La majorité pour le gouvernement est là et ne sera jamais manquant". Il n'est pas exclu que Silvio Berlusconi vienne aussi à la rescousse de Renzi en septembre, qui voit les élections anticipées comme de la poudre aux yeux mais qui sait que si la réforme du Sénat s'enlise, le recours aux urnes devient inévitable.

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