Après Sergio Marchionne et Carlo Calenda, Marina Berlusconi dément elle aussi catégoriquement son intention de s'engager en politique.
Face aux rumeurs de presse, la fille aînée de Silvio Berlusconi, qui préside Fininvest et Mondadori, a redit aujourd'hui qu'elle n'avait jamais envisagé l'idée d'une candidature aux prochaines élections législatives. Le dévouement que les affaires exigent d'elle ne lui permettrait pas de consacrer à la politique l'engagement et le respect qu'elle-même juge nécessaires.
Marina Berlusconi affirme alors que la prédisposition au leadership politique n'est pas transmissible génétiquement et tout son engagement converge vers les grandes entreprises familiales avec lesquelles elle s'occupe depuis plus de vingt ans. Manager par tempérament, Marina a été la plus active de l'entourage de Berlusconi pour convaincre son père de vendre Milan, l'actif favori du roi Silvio mais source de pertes importantes pour le compte de résultat de Fininvest.
