Partagez

Jobs act, licenciements ordinaires et extraordinaires : les temps et les méthodes changent. Voici les nouvelles

Les derniers décrets d'application du Jobs Act visent à créer un code unique des filets sociaux qui simplifie leur réglementation en réduisant le nombre de réglementations - Les dernières dispositions modifient à la fois le périmètre des licenciements ordinaires et extraordinaires et leur durée globale - Voici les principaux nouvelles

Les derniers décrets d'application de la loi sur l'emploi ont apporté plusieurs modifications aux filets de sécurité sociale prévus par le législateur italien. En particulier, le décret qui leur est consacré vise à introduire un code unique des amortisseurs sociaux qui contient toutes les dispositions en la matière, simplifiant leur discipline et allégeant le nombre de règles, lois et règlements.

Outre la simplification, le Jobs Act modifie également manières et temps avec lequel les entreprises et les travailleurs peuvent bénéficier des protections prévues par la loi en cas de licenciement ou de baisse de la productivité de l'entreprise. Voici un résumé des principales innovations introduites pour les amortisseurs sociaux.

Caisse de licenciement ordinaire

La rémunération pour le travailleur en chômage technique, il reste inchangé : 80 % du salaire pour un maximum de 1.167,91 XNUMX euros par mois. Ils restent également les mêmes raisons d'accès: situations de marché momentanées ou événements défavorables non imputables à l'entreprise ou aux travailleurs.

Mais change le public de travailleurs intéressés au fonds ordinaire de licenciement. En effet, pour en faire la demande, les salariés doivent avoir accompli au moins 90 jours de travail effectif dans l'entreprise et la protection est également étendue aux salariés titulaires d'un contrat d'apprentissage professionnel.

Passons à durée. En théorie, les 13 semaines consécutives restent valables, ce qui peut être porté à 52. En pratique cependant, en changeant le mode de calcul de celles-ci, leur durée effective change également. En effet, la loi sur l'emploi prévoit qu'aucune heure de fonds social ordinaire ne peut être octroyée au-delà de la limite d'un tiers de la durée normale du travail sur la période de deux ans glissants, par référence à l'ensemble des travailleurs en moyenne employés dans l'unité de travail en question dans les six mois précédant la demande .

Fonds de licenciement extraordinaire

En ce qui concerne la public de travailleurs l'ancienne législation est substantiellement confirmée, ce qui inclut également les sociétés commerciales de plus de 50 salariés. En ce qui concerne le raisons et leur durée trois situations différentes sont prévues :

- en cas de réorganisation de l'entreprise, le fonds de licenciement extraordinaire peut durer maximum 24 mois pour chaque unité de production sur une période glissante de cinq ans ;

- en cas de crise d'entreprise, les licenciements extraordinaires peuvent durer jusqu'à mois 12 également continue ;

– enfin on s'attend à ce que le accord de solidarité de durée des mois 24 continue également pendant la période mobile de cinq ans.

Le décret d'application du Jobs Act prévoit également la sortie de scène du fonds de licenciement extraordinaire en cas de cessation d'activité de l'entreprise ou d'une de ses branches de production. Par ailleurs, comme prévu pour le fonds social ordinaire, la demande de l'entreprise pour le fonds social extraordinaire entraîne une contribution complémentaire de l'entreprise elle-même calculée sur la base des semaines de trésorerie. Enfin, l'interdiction de solliciter le fonds de licenciement extraordinaire a été instaurée pour les mêmes unités de production pour lesquelles une demande de fonds de licenciement ordinaire a déjà été introduite.

Passez en revue