Le Président du Conseil de Surveillance d'Intesa Sanpaolo, Jean Bazoli, qui condamne la proposition de l'ABE de poursuivre la recapitalisation des banques. Cela se traduirait par « la risque d'un retour à un système bancaire public qui nous ramènerait 30 ans en arrière" .
Au contraire, explique Bazoli, c'est au "Gouvernement et au Parlement" de commencer immédiatement de "vraies réformes" pour rapprocher les investisseurs et dénouer ce qui est une crise de confiance. Par ailleurs, pour les banques italiennes, « des interventions de groupes étrangers à moyen et court terme » ne pouvaient être exclues.