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Anie (Confindustria), bataille empoisonnée pour la présidence

Tempête à Anie, la puissante fédération Confindustria qui regroupe des entreprises d'électrotechnique et d'électronique : Maspero et l'ancien ministre Guidi se disputent la présidence

Anie (Confindustria), bataille empoisonnée pour la présidence

Maretta, en effet tremblement de terre auAnie, la puissante fédération de Confindustria qui regroupe les secteurs ingénieurs électriciens ed elettronici (1.500 84 industries, pour un total de 2019 milliards d'euros en 30, XNUMX % des dépenses totales de R&D du pays). L'Anie était pour ainsi dire commandé par Confindustria. Objet de la lourde décision récemment prise en grande confidentialité par les arbitres du sommet industriel italien, l'affaire litigieuse liée à la nomination du nouveau président d'Anie, qui aurait dû être Andréa Maspero (Maspero Elevatori) au lieu de Giuliano Busetto (Siemens Italia) en fonction depuis 2016.

Comme cela se produit systématiquement à chaque élection à des postes d'un poids politique et économique aussi important, au sein de l'Anie, il y a eu des mouvements courants contraires à cette succession, probablement lié aux hauts fonctionnaires, un mouvement aboutissant à une auto-candidature de Federica Guidi, ancien ministre du Développement économique du gouvernement Renzi, est toutefois arrivé hors du temps maximum et, par conséquent, irrecevable dans le jugement des arbitres. Sans passer par Anie, Guidi a demandé l'intervention de Confindustria, ce qui a conduit au blocage des procédures et au blocage de la nomination de Maspero à la présidence. Guidi, qui était ministre du développement économique dans le gouvernement Renzi et qui a été contraint à la démission en raison d'une campagne adverse qui s'est avérée infondée, ne semble pourtant pas prêt à baisser les bras.

Ce n'est pas le premier fois qu'Anie se retrouve impliquée dans de lourdes polémiques : la plus grave concerne le secteur qui pendant des décennies en a été le fer de lance, celui de l'électroménager aux records du monde, qui s'était trouvé deux fois aux prises avec les hauts bureaucrates internes et avec les dirigeants d'autres secteurs, quittant officiellement la Fédération à deux reprises, dont la dernière, comme Applia, en 2020, et retournant définitivement à la Confindustria.

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