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Smart working : prolongation possible jusqu'au 31 décembre, voici l'amendement au décret Travail

Sans nouvelle prolongation, les parents de moins de 14 ans et les enfants fragiles devront retourner au bureau à partir du 1er juillet

Smart working : prolongation possible jusqu'au 31 décembre, voici l'amendement au décret Travail

Il y en a peut-être un nouvelle extension du travail intelligent pour les travailleurs fragiles et les parents avec enfants de moins de 14 ans. Pour ces catégories, en effet, le droit au travail agile expire le 30 juin, mais un modification du décret-loi sur le travail - lancée par le gouvernement le 5er mai et actuellement en discussion au Sénat - présentée par MXNUMXS, Pd, Verdi et Sinistra, Autonomie prévoit tant pour le secteur public que privé une prolongation jusqu'à la fin de l'année. Six mois de plus ce qui, selon les calculs, coûterait à l'État environ 18 millions d'euros. La proposition sera votée par la salle du Palazzo Madama le 16 juin.

Smart Working : ce que prévoient les règles actuelles

Jusqu'au 30 juin, l'utilisation du travail intelligent est valable pour i travailleurs fragiles du public et du privé et pour moi parents avec enfants de moins de 14 ans du secteur privé. Les règles ont été introduites avec le Décret de Milleproroghe qui à son tour avait prolongé l'ancien délai du 31 mars au 30 juin, établissant la possibilité de recourir au travail intelligent pour les deux catégories également "dans absence d'accords individuels » mais "sous réserve que cette modalité soit compatible avec les caractéristiques du service". 

Sans nouvelle prorogation, après le 30 juin, le choix d'accorder ou non cette possibilité sera uniquement et exclusivement à l'employeur.

Qui sont les travailleurs fragiles

Ma qui sont les travailleurs fragiles ? « Les agents publics et privés concernés par les pathologies et affections recensées par l'arrêté du ministre chargé de la santé en application duarticle 17, paragraphe 2, du décret-loi 221/2021″. Il s'agit des sujets "présentant une altération marquée de la réponse immunitaire".

Cela inclut, par exemple, les patients qui ont subi une "greffe d'organe solide sous traitement immunosuppresseur", une "greffe de cellules souches hématopoïétiques" et qui sont actuellement "en attente d'une greffe d'organe". Mais aussi les patients présentant "une pathologie oncologique ou onco-hématologique sous traitement par médicaments immunosuppresseurs ou myélosuppresseurs ou moins de six mois après l'arrêt du traitement" et "syndrome d'immunodéficience acquise (SIDA)". Cette catégorie comprend également les patients atteints de trois pathologies ou plus, notamment la cardiopathie ischémique, la fibrillation auriculaire, l'insuffisance cardiaque, l'accident vasculaire cérébral, le diabète sucré, la maladie pulmonaire obstructive chronique, l'hépatite chronique et l'obésité.

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