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Istat : +189 mille employés au deuxième trimestre

Sur l'année, la hausse est de 439 1,4 salariés - La hausse est plus forte dans le Sud (+XNUMX %) - Les inactifs et les jeunes « Neet » diminuent.

Istat : +189 mille employés au deuxième trimestre

Emploi italien global au deuxième trimestre a fortement progressé par rapport au trimestre précédent (+0,8 %, 189 milliers d'unités), avec une dynamique positive qui, avec une intensité variable, concerne tous les types : salariés permanents (+0,3%), salariés temporaires (+3,2%) et indépendants (+1,2%) . Istat l'écrit dans sa dernière note sur le marché du travail.

Au niveau territorial, l'augmentation est plus importante dans les Midi (+1,4%) par rapport à Centre (+0,8%) et autres nord (+0,6%). Le taux d'emploi augmente de 0,5 point, surtout pour i 15-34 ans (+0,8 point) et pour i 50-64 ans (+0,6 points). Les tendances les plus récentes, mesurées par les données mensuelles relatives à juillet 2016, montrent, nettes de saisonnalité, une interruption de la tendance positive enregistrée les quatre mois précédents, avec une baisse des effectifs concentrée dans la composante indépendante, contre une stabilité substantielle des effectifs .

Chaque année, une croissance globale de 439 XNUMX employés. Un aspect significatif de l'expansion de l'emploi est donné par la croissance significative des jeunes actifs âgés de 15 à 34 ans (+223 50 sur une base annuelle) qui accompagne l'augmentation continue des plus de 308 ans. La croissance est plus marquée pour les salariés, qu'ils soient temporaires CDI (+72 180) et CDD (+XNUMX XNUMX), mais le travail indépendant renoue également avec l'intérêt, exclusivement chez les indépendants sans salariés. L'augmentation est substantielle tant pour le travail à temps plein que pour le travail à temps partiel, en particulier le travail bénévole. La croissance est également significative pour la composante féminine (+XNUMX mille) concentrée surtout dans le nord du pays.

Il continue à un rythme plus rapide le déclin, à la fois conjoncturel et tendanciel, des inactifs (en termes absolus et d'incidence), surtout pour la composante découragée. Le taux de chômage, après la stabilité conjoncturelle des deux trimestres précédents, a légèrement diminué (-0,1 point) par rapport au trimestre précédent et de 0,6 point par rapport au même trimestre de 2015 avec une baisse tendancielle de 109 mille chômeurs. La plus grande participation des jeunes au marché du travail se traduit également par diminution tendancielle (-252 XNUMX) de la composante des personnes ne suivant ni études, ni emploi, ni formation (NEET).

Les variations des stocks d'emplois impliquent des modifications importantes de la condition des personnes sur le marché du travail, mesurées par les flux de données douze mois plus tard. Parmi les actifs occupés, les transitions vers l'emploi permanent se multiplient, notamment pour les intérimaires et les collaborateurs. En outre, le flux du chômage vers l'emploi, en particulier vers les salariés, s'accroît. L'augmentation des transitions du chômage vers l'emploi concerne principalement les hommes, les jeunes de 25-34 ans, les résidents du Nord et les diplômés.

Du côté des entreprises, les signes de croissance de la demande de travail se confirment, mais dans une moindre mesure, avec une hausse moins marquée, par rapport au trimestre précédent, tant des postes salariés que des heures travaillées par salarié ; de plus, le recours au licenciement continue de diminuer. L'augmentation des emplois est une synthèse de la stabilité de l'industrie au sens strict et de l'augmentation des services ; le taux de vacance a diminué de 0,1 point de pourcentage en termes cycliques alors qu'il était stable sur une base annuelle. En ce qui concerne le coût du travail, la baisse des cotisations sociales s'est atténuée (-0,1 %), sous l'effet de la baisse des cotisations liées aux nouvelles embauches en CDI.

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