Le gouvernement français "n'a pas de préférence" parmi les différentes offres présentées par des entreprises étrangères pour le rachat d'Alstom, mais espère qu'elles seront "améliorées". L'annonce a été faite par l'Elysée à l'issue d'une rencontre entre le président François Hollande, le Premier ministre Manuel Valls et le ministre de l'Economie Arnaud Montebourg.
"Aujourd'hui, il y a une offre qui est connue et déposée, celle de General Electric, et une autre offre qui devrait être confirmée dans les prochains jours, qui voit Mitsubishi associé à Siemens – a rappelé Paris -. Nous n'avons aucune préférence pour l'une ou l'autre proposition. Nous avons des besoins qui sont l'emploi, le maintien des activités en France, l'indépendance énergétique. Sur cela nous mesurons les offres et notre objectif est maintenant de faire en sorte que les propositions soient améliorées pour répondre à ces objectifs ».
Une nouvelle réunion à l'Elysée sur le dossier Alstom se tiendra la semaine prochaine.
