L'Inspection nationale du travail fourni aux inspections interrégionales et territoriales du travail, par une note en date du 14 septembre, des précisions sur l'importante modifications à la discipline des causes qui légitiment la stipulation d'un Contrat à durée déterminée de plus de 12 mois, inséré dans la transformation de l'art. 41bis du décret "Sostegni-bis" par la loi 23 juillet 2021, n. 106.
Les nouvelles sur nouvelle discipline du contrat à durée déterminée, comme demandé par Confindustria, permettent désormais durée ou prolongation au-delà de 12 mois (et au plus tard 24 mois) ou le renouvellement de contrats à durée déterminée, également à des fins d'administration, pas seulement pour des raisons légales (c'est-à-dire pour des besoins temporaires et objectifs, étrangers à l'activité ordinaire, ou pour des besoins de remplacement d'autres travailleurs et des besoins liés à des augmentations temporaires, importantes et non programmables de l'activité ordinaire), mais aussi en présence de "besoins spécifiques" prévus par les conventions collectives accords nationaux, territoriaux ou d'entreprise conclus par les syndicats comparativement les plus représentatifs au niveau national ou de contrats d'entreprise conclus par leurs délégués syndicaux d'entreprise ou par le délégué syndical unitaire.
En d'autres termes, les conventions collectives sont autorisées à individualiser nouveaux cas en présence de laquelle il sera possible de stipuler un contrat à durée déterminée d'une durée supérieure à 12 mois.
A cet égard, il n'y a pas de contraintes de contenu particulières. En revanche, les caractéristiques substantielles des motifs contractuels n'imposent pas que les "besoins" soient "spécifiques", et donc identifient des hypothèses concrètes, sans recourir à des formulations génériques (comme des motifs "de nature technique, productive, organisationnelle.. .") qui nécessitent d'autres déclinaisons dans le cadre du contrat individuel.
Les changements introduits affectent non seulement la stipulation du premier contrat d'une durée supérieure à 12 mois, mais affectent également les règles qui régissent les instituts de renouvellement et d'extension, puisque parmi les causes du contrat à durée déterminée, à partir du 25 juillet, celle liée aux besoins spécifiques identifiés par la négociation collective doit également être considérée.
La possibilité de conclure des contrats à durée déterminée d'une durée initiale supérieure à 12 mois sur la base des motifs contractuels est en tout état de cause autorisé jusqu'au 30 septembre 2022.
La date limite du 30 septembre doit être signalée à la signature du contrat, qui peut prévoir une durée de la relation au-delà de cette date et sans préjudice de la limite globale de 24 mois.
Il s'ensuit qu'après le 30 septembre 2022 il sera à nouveau possible de stipuler un premier contrat à durée déterminée d'une durée supérieure à 12 mois uniquement pour les besoins définis par les causes légales.
Dans le cas contraire, les règles de renouvellement et de prolongation des contrats à durée déterminée, dont les motifs ne font pas référence aux "besoins spécifiques" du décret "Sostegni-bis", ne sont pas conditionnées temporellement et, par conséquent, il sera possible de prolonger ou renouveler la durée des contrats en vertu du contrat.