Le Bourses européennes Ils clôturent la dernière séance d'une semaine faible et volatile, tenue en échec par des missiles qui sifflent de plus en plus menaçants dans le ciel du Moyen-Orient, malgré les faibles espoirs diplomatiques suscités ces dernières heures. La séance d'aujourd'hui était également conditionnée par des délais techniques, puisqu'il s'agit du troisième vendredi du mois, ou du jour des quatre sorcières.
Milan s'apprécie de 0,74 % à 39.231 XNUMX points de base, stimulé par les valeurs financières et mené par Azimut (+3,83 %), en pleine forme suite aux rumeurs d'intérêt du charmant milliardaire Andrea Pignataro. Selon Bloomberg en fait « Ion », une société du financier bolognais, pourrait entrer au capital de Tnb, une banque numérique en cours de création par Azimut et Fsi
Dans le reste de l'Europe, ils ne sont pas classés dans un ordre particulier. Francfort + 1,37% Parigi +0,48% et Madrid + 0,71% Londra -0,2% et Amsterdam -0,09%.
À l'étranger Wall Street se déplace de manière incertaine en fin de matinée (DJ + 0,37% S & P 500 + 0,1% Nasdaq -0,2%), après un démarrage en phase avec les attentes d'une baisse des taux d'intérêt de la Réserve fédérale dès juillet, une possibilité évoquée par Christopher Waller, membre du conseil d'administration.
L’Iran est-il prêt à négocier sur l’uranium ?
L'espoir de nouvelles opportunités a ravivé l'appétit pour le risque dans la matinée routes diplomatiques entre Tel Aviv et Téhéran, après que la Maison Blanche a mis deux semaines à décider si les États-Unis entreraient en guerre aux côtés d’Israël et bien que Netanyahou ait clairement indiqué : « Nous arrêterons le programme nucléaire iranien avec ou sans Trump. »
Par ailleurs, une réunion est actuellement en cours Sommet à Genève Des négociations ont eu lieu entre les ministres des Affaires étrangères d'Allemagne, de France, de Grande-Bretagne et d'Iran, au cours desquelles les limites de l'enrichissement d'uranium en République islamique pourraient être négociées. Les nouvelles en provenance de Suisse sur ce point sont toutefois mitigées, tandis que le ton reste très tendu entre les belligérants.
Huile à deux vitesses
L'étoile directrice de ces jours est la Pétrole, L'Iran étant le troisième producteur mondial d'or noir, après de récents gains, la séance sur le pétrole brut devrait clôturer dans le rouge aujourd'hui, même si les contrats à terme évoluent à des rythmes différents.
Il Brut texan, expirant en août, perd 0,19% et affiche un prix de 73,36 dollars le baril. Brent, même maturité, perd en revanche 3 %, à 76,48 dollars le baril. Le prix du gaz à Amsterdam, moins de 41 euros par MWh.
Sur le marché des devises, le dollar devrait clôturer une huitième semaine de hausse, mais l'euro se redresse au-dessus de 1,15.
Piazza Affari, les banques et Tim se portent bien
Sur la Piazza Affari, les banques se sont redressées aujourd'hui, à partir de Bper + 2,55% députés +1,94% et Pop de Sondrio +1,82 %. Bien aussi Unicredit, +1,6%, selon le PDG Andrea Orcel, dans une interview avec La Repubblica, a parlé d'un retrait « probable » de l'offre sur Banco Bpm (+0,2%) sans clarté sur le Golden Power, tout en affirmant que la banque essaiera de tout faire pour surmonter les obstacles.
De l'argent aussi pour Telecom Italie +2,9 %, après le ralentissement d'hier. Les investisseurs semblent prêts à miser sur certaines nouvelles après l'assemblée générale des actionnaires qui se tiendra la semaine prochaine. Le titre actualise ainsi un nouveau sommet de 2025 à 0,4042 euro.
Ils se distinguent également parmi les valeurs vedettes Interpump + 2,52%, Campari +2,32% et Buzzi + 2,06%.
Stellantis s'apprécie de 0,33 %, grâce à la bonne performance du secteur automobile européen et aux chiffres de ventes de véhicules hybrides et utilitaires. Selon Reuters, le groupe italo-français étudie également la vente de Maserati, une option suggérée par McKinsey dans le cadre d'une analyse stratégique.
Les réalisations pénalisent les services publics : Snam -0,83% Terna -0,9% A2a -0,57 %. Légère baisse Leonardo -0,21%, tandis que le ministre italien de la Défense Guido Crosetto attaque l'alliance atlantique : "L'OTAN n'a plus aucune raison d'exister - dit-il en marge d'une conférence à Padoue - autrefois le centre du monde était l'océan Atlantique, maintenant c'est le monde".
Spreads stables
La séance sur le secondaire se termine sans chocs majeurs, où le propagation entre le BTP à 101 ans et son homologue allemand, il recule à 3,52 points de base, avec des rendements stables à 2,52% et XNUMX% respectivement.